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Yann Lipnick | 02/05/2017 | Géobiologie

Une approche visuelle des phénomènes invisibles

Une simple promenade peut devenir, pour quelqu’un d’attentif, l’occasion d’observer les forces cosmotelluriques à l’œuvre dans la nature. En effet, bon nombre de phénomènes géobiologiques provoquent bien souvent, par leur seule présence, des traces visibles à l’œil nu. La faculté de ressentir ou de pressentir ces énergies est inscrite en chacun de nous.

Les mesurer nous permet de valider ce ressenti et d’avoir des informations supplémentaires sur la nature des manifestations en présence. En comprenant comment l’énergie circule dans la nature, nous accédons à un niveau de perception permettant de décoder les mystères de la Terre Mère. C’est ce que nous pratiquons en bioénergie et en géobiologie lors de randonnées ou de découvertes de sites sacrés. Parmi les éléments déterminants dans ce type de recherches, nous allons trouver entre autres :

Les arbres

Ils sont très révélateurs des phénomènes invisibles d’un lieu.

Ainsi, les arbres foudroyés sont communément situés sur le croisement de cours d’eau souterrains.

Les grands arbres, eux, sont presque toujours près des vortex ou sur des cheminées cosmotelluriques ; il n’est pas rare qu’ils soient traversés par des réseaux sacrés. Ils sont souvent habités par des dévas de la nature. N’hésitez pas à communiquer avec eux, ils seront très heureux d’être remarqués et sollicités… Le vortex se trouvant généralement à la périphérie de l’arbre, essayez de percevoir son énergie autour du tronc. Vous sentirez des picotements dans la main, à l’endroit précis de son emplacement. Prenez le temps de vous asseoir dessus, détendez-vous et savourez ce qui se passe…

Les arbres « spiralés » ont fréquemment situés sur un vortex agissant sur leur croissance. Selon le sens de la spirale de l’arbre, on peut voir si c’est un vortex lévogyre ou dextrogyre. Les arbres tordus ont grandi souvent sur, ou près de phénomènes négatifs (failles, cheminées négatives, réseaux négatifs, mémoires négatives) et parfois sur des phénomènes positifs (vortex, courants telluriques, réseaux de l’intraterre).

Les arbres qui poussent sur des Ley lines, des cheminées intra-terrestres ou des courants telluriques, sont souvent gros et trapus.

Les traces d’animaux

Elles font partie des signes les plus révélateurs, en ce qui concerne la science tellurique. Les sentiers de mammifères sont presque toujours situés sur des réseaux positifs. Les sangliers affectionnent les réseaux plus larges, considérés comme sacrés. D’ailleurs, leurs lieux de rencontre sont presque toujours situés sur des croisements de réseaux sacrés et des vortex, signalés par des traces de fouille, des bauges où ils aiment nicher et se reproduire.

Les terriers des animaux tels que le blaireau ou le renard sont souvent à proximité de vortex. Même les taupes créent leur habitat dans des lieux très positifs, vortex, cheminées cosmotelluriques, etc. Leurs galeries suivent, la plupart du temps, des réseaux ou des phénomènes positifs. Les lieux de repos, où l’herbe est couchée par les animaux, sont souvent situés sur des cheminées cosmotelluriques positives ou sur des esprits de la nature. En effet, leur présence est ressentie par les animaux comme un endroit de régénération ! Si les crottes des mammifères (chevaux, vaches, moutons, etc.) sont rassemblées dans un endroit du champ, soyez certain de la présence d’un phénomène positif (généralement une cheminée ou un vortex) sur cet emplacement. Il est ainsi très facile de détecter rapidement les phénomènes existants dans les prairies pâturées, car les animaux fréquentent davantage les endroits positifs.

Les fourmilières et les chats se placent sur des phénomènes négatifs (cheminées négatives ou bras de cheminée). Si votre chat se repose toujours au même endroit, vous pouvez être presque certain qu’il s’agit d’un croisement de réseaux négatifs ou d’un bras de cheminée !

Les abeilles, quand elles essaiment, vont fréquemment élire domicile sur des réseaux Peyré positifs ou des vortex, alors que les frelons ou les guêpes affectionnent les Peyré négatifs.

Les chauves-souris se regroupent dans des zones très positives, près des vortex ou des cheminées cosmotelluriques qui passent dans leur grotte. Les oiseaux, également sensibles à ces phénomènes, construisent leurs nids dans des lieux positifs, sauf les hirondelles… Elles préfèrent les bras de cheminées qui, eux, sont négatifs. Mais alors, pourquoi dit-on que la présence des hirondelles dans une maison est un bon présage ? Les cheminées cosmotelluriques se trouvant à l’extérieur de la maison projettent parfois leur bras à l’intérieur de la maison. Au passage du bras, les hirondelles construisent leurs nids et arrêtent les bras de cheminées qui ne pénètrent plus dans la maison, enlevant ainsi une source de problèmes pour les habitants du lieu en créant une protection inattendue !

Extrait du livre géobiologie, enseignements et révélations des gardiens de la terre